> Anticipation. Établir une liste d'entreprises préautorisées à fournir leurs biens et services (transport, énergie, etc.) aux secours et aux survivants. L'idée est ici d'éviter que les entreprises voisines de la zone sinistrée ne déboulent toutes en même temps pour venir en aide aux victimes et ne font, dans les faits, qu'accroître la difficulté des secours à intervenir.
> Fonds d'urgence pour les PME. Mettre au point une plateforme de crowdfunding destinée aux PME, histoire de les aider à vite trouver les fonds pour redémarrer leur activité.
> Prévention. Organiser régulièrement des événements (débats, spectacles, etc.) dans les endroits propices aux désastres naturels dans le but de diffuser de l'information pratique sur ce qu'il faut faire en cas de catastrophe.
> Énergie. Installer dans les zones propices aux désastres naturels des sortes de manèges permettant de produire de l'électricité (ex.: en les faisant tourner par des hommes ou par des animaux). Cette énergie permettrait de recharger des cellulaires et d'alimenter des réseaux Wi-Fi.
> Évaluation. Agréger toutes les images du désastre prises par les survivants pour évaluer très précisément les dégâts, et donc les interventions à effectuer (ex.: à partir d'une simple photo d'arbre à terre, on pourrait identifier grâce à Google Maps la rue dans laquelle il est situé, l'emplacement précis où il est tombé, et donc le fil électrique à réparer qu'il a sectionné dans sa chute).
> Éducation. Ouvrir dans les zones propices aux désastres naturels des stations de radio locales dont les émissions seraient animées par des enfants et des tinées aux enfants. L'idée est d'informer et de préparer les jeunes aux catastrophes à venir.