Le franchissement d'un point de bascule peut procurer une joie immense. Photo : DR.
BLOGUE. Avez-vous remarqué, comme moi, à quel point il est parfois difficile de faire changer les autres, que ce soit dans leurs a priori ou leurs petites habitudes routinières? Nos arguments ont beau être solides, rien n’y fait, ou presque, même s’ils vous font quelques menues concessions. Pourquoi? Parce que vous n’êtes pas parvenu à leur faire dire «Aha!»…
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C’est ce que j’ai appris hier en découvrant la toute dernière étude de Manfred Kets de Vries, professeur de leadership de l’Insead mais aussi gourou surnommé «le psy des organisations névrosées». Une étude passionnante intitulée Coaching’s «good hour» : Creating tipping points, qui porte sur un point très particulier, le point de bascule (tipping point, en anglais) qui survient à l’instant précis où le client comprend le changement qu’il doit effectuer en lui pour mettre fin à la situation pénible qu’il connaissait jusque-là, changement, bien entendu, préconisé par son coach.