«Pour cela, il faut décliner nos marques sur tous les supports (consoles, PC, smartphones, tablettes) et dans tous les métiers (télévision, cinéma, BD, roman, vêtement et jouet)», selon le co-fondateur d'Ubisoft, qui a vu naître dans ses studios des titres cultes comme Rayman, Assassin's Creed ou Lapins Crétins.
M. Guillemot rappelle que le groupe a amorcé le virage de cette diversification tous asimuts en 2009, avec la fondation de sa propre maison d'édition de BD franco-belge, "Les Deux Royaumes".
Elle a publié en Europe une trilogie destinée au marché francophone, inspirée du jeu vedette Assassin's Creed, vendu à 30 millions d'exemplaires.
Depuis 2011, le groupe sert aussi le marché nord-américain de la BD, en éditant et diffusant une saga inspirée du même jeu, avec des scénarios adaptés à ce nouveau public.
A terme, les albums d'Ubisoft ont vocation à se décliner dans plusieurs langues pour être diffusées "partout dans le monde", selon son PDG.
M. Guillemot rappelle par ailleurs le partenariat avec l'éditeur britannique, Penguin, qui a permis la publication depuis 2009 de trois adaptations romanesques d'Assassin's Creed, écoulées à "plus d'un million d'exemplaires écoulés à fin 2011".
Assassin's Creed au grand écran, page 3