«Nous ne comptions pas là-dessus. Notre plan d’affaires avait été fait sans ces redevances, bien qu’elles faisaient parties des hypothèses pour le moyen et long terme. Nous voulions faire la preuve de la viabilité de l’entreprise sans elles, ce que nous avons réussis à faire», se réjouit M. Rémillard.
Qu’adviendra-t-il de cet argent? Reviendra-t-elle à l’écran ou se perdra-t-elle dans les activités de Remstar, propriété de V?
«Nous en avons fait un engagement, c’est très clair pour nous. Peu importe ce qui nous sera versé des distributeurs, il sera réinvesti à l’écran.»
Après avoir attaqué les créneaux des 17 à 19 heures et du 22 heures et plus, la direction de V entend faire du 20 à 22 heures son prochain champ de bataille.
Des investissements dans des «émissions dramatiques et autres types d’émissions prioritaires» sont à l’agenda. Ce qui exclut par contre tout espoir de retour dans le créneau de l’information, précise bien M. Rémillard.
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