F-35 : Harper s'en prend aux libéraux qui veulent l'annulation des contrats

Publié le 14/01/2011 à 14:11, mis à jour le 14/01/2011 à 16:26

F-35 : Harper s'en prend aux libéraux qui veulent l'annulation des contrats

Publié le 14/01/2011 à 14:11, mis à jour le 14/01/2011 à 16:26

Par La Presse Canadienne

Le premier ministre Stephen Harper a annoncé vendredi un contrat de 640 millions $ sur 10 ans pour Bell Helicopter Textron à Mirabel et Calgary.

Le contrat, qui devrait permettre de maintenir quelque 300 emplois dans ces deux villes pour une période de 10 ans, consiste à entretenir et réparer les hélicoptères Griffon CH146 du Canada. Il comprend la fourniture de pièces, le soutien et le génie, de même que l'entretien et la réparation de ces hélicoptères en service au pays depuis 1995.

Ces appareils sont utilisés pour des opérations de sauvetage, de recherche, de surveillance et de lutte antidrogue, notamment.

Le premier ministre a fait cette annonce dans une véritable ambiance de campagne électorale, entouré de plus d'un millier de travailleurs de l'usine à Mirabel et du maire Hubert Meilleur, devant un hélicoptère et un énorme drapeau du Canada.

Plus tôt dans la journée, avant de se rendre à Mirabel, il avait visité une autre usine du secteur aérospatial, celle de la compagnie Héroux-Devtek à Dorval, qui fabrique des composantes du chasseur F-35.

Il en a profité pour accuser l'opposition libérale de jouer à un jeu de politique partisane néfaste pour l'industrie aérospatiale du Québec en songeant à annuler le contrat des chasseurs F-35 pour l'armée canadienne.

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.