1. Une stratégie mentale. Il convient de se conditionner mentalement pour faire de l'auto-leadership, notamment en matière d'engagement et de détermination.
2. Une stratégie émotionnelle. Il faut aussi se préparer sur le plan psychique pour affronter les inévitables difficultés que l'on rencontrera en chemin. Un exemple parmi d'autres est la motivation.
3. Une stratégie comportementale. Il faut encore accepter de devoir changer son comportement habituel, sortir de sa zone de confort, pour acquérir ou développer des compétences que l'on maîtrise jusqu'à présent mal, voire pas du tout. D'où la nécessité de se fixer des buts réalistes, de s'organiser pour les atteindre et de célébrer chaque étape importante franchie menant aux objectifs visés.
Ces mêmes études ont mis au jour le fait que l'auto-leadership peut avoir des effets notables :
1. Performance. Bien maîtrisé, l'auto-leadership permet d'améliorer sensiblement sa performance au travail (Rousseau, 1997).
2. Créativité et innovation. (Carmeli, 2006; Phelan & Young, 2003).
3. Prise d'initiative. (Stewart, Carson & Cardy, 1996).
4. Carrière. (Abele & Wiese, 2008).