Bon. Certains me diront qu'il n'y a là rien de neuf. Mais regardons tout cela un peu mieux, et voyons ce qui s'en dégage. On aperçoit dès lors, entre autres, deux moyens complémentaires de renverser la vapeur :
> Inspirer. Les managers doivent faire de la vision leur priorité absolue, et surtout, prêter une attention toute particulière à la façon dont ils la communiquent aux employés. Ils doivent parvenir à faire rêver, mais tout en faisant garder les pieds sur terre. Ils doivent voir grand et loin, et permettre à chacun de voir tout aussi grand et loin. Bref, ils doivent se faire inspirants. Un modèle? Google. Ou encore, Apple.
> Connecter. Les managers doivent également voir leur entreprise, et même leur équipe, d'un tout nouvel œil. Ils peuvent notamment décider de prendre du recul et de regarder tout ça juste sous la forme de cercles interconnectés : cela peut être fait sur une feuille de papier, pour y voir plus clair. Cela fait, ils sont en mesure de repérer les liens forts et les liens faibles, ou encore ceux qui manquent, et pourquoi ceux qui mériteraient d'être affaiblis ou supprimés. Du coup, les voilà avec un plan de match permettant de mieux connecter les uns avec les autres. Résultat? Chaque employé se sentira nettement mieux au sein de l'écosystème dans lequel il se trouve, au point de s'y sentir – enfin – chez lui, prêt à grandir en harmonie avec tous les autres.
Voilà. Qu'en pensez-vous? Est-ce là de bonnes idées? Je serais curieux de le savoir…
En passant, le penseur américain Ralph Waldo Emerson disait : «Les grands hommes, les génies, les saints n'ont fait de grandes choses que parce qu'ils étaient inspirés par un grand idéal. On a besoin d'accrocher sa charrue aux étoiles».
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