Quelle leçon tirer de tout cela dans le cas de la corrida du PQ? Peut-on dire que Pauline Marois s’est beaucoup trop reposée sur son expérience politique? Que sa trop grande confiance en son leadership – 93% des délégués péquistes lui ont exprimé leur confiance le 16 avril dernier – l’a empêché d’entendre la grogne montante dans ses rangs? Qu’elle n’est pas assez à l’écoute des voix discordantes de son parti? Il semble qu’on puisse répondre : «oui, oui, et encore oui»… Qu’en pensez-vous?
Saint-Augustin disait dans ses Sermons : «Se tromper est humain, persister dans son erreur est diabolique»...