Bon. Le résultat de l'étude? Il est sans appel.
> Moins performants. Les PDG qui avaient les pleins pouvoirs se sont montré moins performants que les autres dans les trois cas de figure. Oui, l'échec était à chaque fois à la clé.
Pourquoi une telle contre-performance? «On peut raisonnablement supposer que les PDG qui disposent des pleins pouvoirs, ou presque, sont plus prompts à prendre des risques élevés que les autres. Des risques inconsidérés, compte tenu de la situation», disent les trois chercheurs dans leur étude.
Par conséquent, on peut tirer de tout cela la leçon suivante :
> Mieux vaut ne jamais confier les pleins pouvoirs au leader. Car, en cas de coup dur, celui-ci ne réussira pas à prendre les bonnes décisions.
En passant, le philosophe français Alain a dit dans ses Propos : «Tout pouvoir est triste».
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