4. Évaluer
Chaque avancée et chaque recul par rapport au plan de contre-attaque doit être soigneusement évaluée. Pourquoi? Parce que l'issue de l'offensive en dépend. Et ce, jusqu'à la toute fin, jusqu'à ce que la crise soit résolue.
«L'important est de garder le lead tout du long, quoi qu'il advienne! C'est essentiel. Même si, en toute honnêteté, je peux vous confier que c'est là une Mission: Impossible. Car un acteur d'une crise ne pourra jamais, à lui seul, tout prendre en mains et trouver LA solution. Néanmoins, il est crucial de montrer à tous qu'on a à cœur de trouver une solution et d'en être l'un des acteurs principaux», a expliqué Mme George.
Aujourd'hui, Patrick Archer est toujours à la tête de l'APC et est ressorti grandi de la crise qui a secoué toute l'industrie de la cacahuète aux États-Unis. Il a su en effet faire preuve d'un leadership hors-pair. Une source d'inspiration – qui sait? – pour vous-mêmes…
En passant, l'écrivain et théologien français Fénelon a dit dans Les Aventures de Télémaque : «La vrai courage ne se laisse jamais abattre».
Découvrez mes précédents billets
Rejoignez-moi sur Twitter
Mon livre : Le Cheval et l'Âne au bureau