> Plus on est libre d'organiser son travail, plus on a un CIT élevé et plus on est engagé dans son travail.
> Plus on est en situation d'apprendre dans son quotidien au travail, plus on a un CIT élevé et plus on est engagé dans son travail.
> Le degré d'autonomie que l'on a au travail n'a guère d'impact sur le CIT et l'engagement.
> Plus le travail est routinier, plus l'engagement diminue ; en revanche, la routine n'a pas vraiment d'impact sur le CIT.
> Plus les attentes de l'employeur sont élevées, plus l'engagement diminue ; quant au CIT, l'impact n'est pas très clair, tantôt il est positif, tantôt il est négatif, et ce, en raison vraisemblablement de facteurs qui n'ont pas été pris en compte par cette étude.
À cela s'ajoute deux constats importants :
> Les CIT les plus élevés ont été enregistrés chez ceux qui occupent des postes soumis à peu de contraintes, c'est-à-dire où le niveau de contrôle est élevé et le niveau des demandes est faible.
> Contrairement à ce qu'on aurait pu croire a priori, les CIT ne sont pas élevés pour les postes réputés "hots", c'est-à-dire où le niveau de contrôle est élevé et le niveau des demandes est, lui aussi, élevé.