La situation demeure intéressante. À 14 fois le bénéfice de 2014, aucune synergie de la fusion ne semble anticipé par le marché. Si l'affaire ne se conclut pas, le potentiel de recul du titre semble contenu. (Le titre est d'ailleurs resté stable le jour de l'annonce des mesures Obama.) Si elle se conclut, il y a un certain potentiel de hausse.
Quant à nous, la conscience l'emporte. Qui s'y frotte s'y pique, et une piqûre suffit...
En conservant le multiple actuel - 14 fois le bénéfice prévu -, on obtient un titre qui pourrait gagner 75 % en moins de quatre ans, à plus de 80 $ US. Une véritable tentation du diable !