Ce n'est pas une situation qui facilitera l'installation de l'humeur d'expansion tant recherchée. On comprend mieux pourquoi le ministre des Finances, Carlos Leitao, jonglait récemment avec l'idée d'utiliser une partie du champ fiscal que libérerait Ottawa pour en retourner une partie en baisses d'impôt aux entreprises.
La fin du plat de bonbons amènera assurément des épargnes, mais, de façon transitoire, elle pourrait aussi porter un coup au PIB du Québec et aux revenus du trésor.
Heureusement que le réservoir fédéral donne des signes de débordement.
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