Le S&P 500 et le Dow Jones américains multiplient aussi les sommets.
L’indice Nasdaq 100 des poids lourds du Nasdaq Composé atteint aussi son meilleur niveau en 13 ans.
L’indice Sensex de l’Inde baigne encore dans l’euphorie des élections présidentielles et de l’espoir de réformes économiques.
Même la Russie a rebondi de 20 % depuis le 14 mars, alors que Vladimir Poutine rencontre le nouveau président élu d’Ukraine Petro Porochenko.
Les investisseurs reviennent aux actions parce que la Fed américaine a passé le flambeau de détente monétaire aux banques centrales. La Banque centrale ets la première des grandes banques mondiales à imposer aux banques des taux d'intéret négatifs de 0,5 %, dans l'espoir de raviver les prêts et l'inflation (la Suède et le Danemark l'ont précédé).
Même le Mexique y est allé d’une baisse inattendu de son taux directeur à un plancher record de 3 % cette semaine pour vivifier son économie.
Les investisseurs qui misaient ou craignaient un recul boursier n’ont d’autre choix que de capituler et d’acheter des actions, pour éviter d’autres pertes, devant le flot de liquidités servi par les banques centrales, explique Martin Roberge, stratège quantitatif de Canaccord Genuity.
Une marge de sécurité de 4 %en faveur des actions