2- Une rotation saine basée sur l’évaluation.
Le nouvel appétit pour les secteurs dit cycliques provient probablement du fait que leur évaluation est devenue nettement plus attrayante par rapport à celle des secteurs dit prudents.
Trois des quatre secteurs « prudents » commandent les évaluations les plus généreuses. Le multiple cours-bénéfices des titres de la consommation de base, de la santé, et des télécommunications est supérieur au taux de croissance des bénéfices de ces trois secteurs.
En comparant le multiple des bénéfices au taux de croissance des bénéfices, les secteurs des matériaux et de la finance sont les plus attrayants.
3- Les investisseurs pressentent une amélioration future de l’économie
En misant sur des secteurs dits cycliques pendant que les données économies déçoivent, il est possible que les investisseurs se projettent en avant, comme ils avaient l’habitude de le faire avant la crise.
Le consensus des économistes prévoit une nette amélioration du rythme l’économie américaine, de 2 % en 2013, à 2,7 %, en 2014.
4- Les évaluations demeurent raisonnables.