Les dirigeants de Premier Tech ont veillé à mettre en place un financement spécifique consacré aux acquisitions (prêts préautorisés de 55 millions de dollars, dont 25 M$ en provenance du Fonds de solidarité FTQ), de manière à pouvoir réagir vite face aux occasions qui allaient se présenter. Et l'équipe de direction a pris davantage de temps pour rencontrer les acteurs de l'industrie.
«On a toujours une conversation avec nos fournisseurs et concurrents. On les invite à nous visiter, et on les visite. On veut avoir cette conversation, ne serait-ce que pour mieux se connaître. Par moments, tu vas chercher des informations intéressantes, mais surtout, tu bâtis des ponts qui peuvent être utiles quand une personne songe à vendre son entreprise ou à créer une alliance stratégique. Alors, on s'est remis sur la route», raconte ce diplômé de Polytechnique en génie industriel.
À lire aussi :
Premier Tech: une force régionale qui stimule le milieu