« En conséquence, de nombreux grands groupes pharmaceutiques devraient accélérer leur recherche de croissance externe en 2013 », mais « leur capacité à réaliser ces opérations a diminué dans les dernières années », estime l'étude.
Ernst & Young souligne que les « big pharmas » sont confrontées en même temps au défi de la diminution de leurs ressources, et à une concurrence plus forte pour l'achat d'actifs intéressants venant des grandes sociétés de biotechnologie et des groupes pharmaceutiques de spécialité.
Dans ce contexte, le cabinet prévoit que les transactions seront plus ciblées et plus petites, car « seules un petit nombre des grandes compagnies pharmaceutiques ont +la puissance de feu+ pour réaliser des acquisitions de plus de 60 milliards de dollars ».
Les groupes pharmaceutiques devraient aussi envisager « davantage de cessions d'actifs non stratégiques » et mener « plus d'opérations dans les marchés émergents », selon l'étude.