• Perdre son emploi via Facebook
Le 4 septembre dernier, soir d’élections provinciales, Blake Marsh s’est branché sur Facebook, a réagi à l’attentat dont venait d’être victime Pauline Marois, puis est probablement allé se coucher.
Le lendemain matin, à son arrivée au bureau, il perdait son emploi de testeur de jeux vidéo chez Eidos Montréal.
Marsh, un anglophone, avait écrit à propos de l’affaire que « les bons assassins sont difficiles à trouver ces jours-ci » et qu’il ne « donnait pas un mois à cette pute avant que quelqu’un avec plus de précision fasse ce qui doit être fait ».
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