Pour Paul Kalyta, professeur adjoint en gouvernance d'entreprise de la Faculté de gestion Desautels de l'Université McGill, cette exception rend le cadre tout à fait acceptable : «Cela fait des années que les entreprises savent que la corruption n'est plus tolérable et que le risque d'atteinte à la réputation est élevé», dit-il.
14 G$: Montant que Travaux publics et Services gouvernementaux Canada injecte chaque année dans l'économie canadienne
140: Nombre de ministères et d'organismes fédéraux qui ont recours à TPSGC pour l'octroi de contrats 39 %: Pourcentage des contrats accordés aux PME (hormis les achats de matériel militaire)
50 000: Nombre de contrats ou de modifications de contrats octroyés chaque année par TPSGC
Source : TPSGC, Rapport 2014-2015 sur les plans et priorités