Selon M. Lacharité, le lock-out d'une durée d'un peu plus de deux ans au Journal de Montréal et celui, plus récent, d'Acier Leroux, à Boucherville, prouvent la désuétude de la loi.
À Boucherville, les employés ne peuvent plus se rendre au travail depuis un mois en raison des négociations en lien avec le renouvellement de leur convention collective.
Au Journal de Montréal, peu avant le début du conflit de travail en janvier 2009, Quebecor avait mis sur pied l'Agence QMI, alimentée par différentes publications de l'empire médiatique, notamment le journal 24 heures.
Les textes qui sont produits dans les différentes antennes de l'entreprise ont ainsi été mis en commun et ont pu être reproduits dans le Journal de Montréal pendant le conflit.
La direction d'Olymel n'était pas disponible pour commenter l'affaire, dimanche.