L'Agence, à laquelle les États-Unis, la Chine, le Japon et le Brésil ne participent pas encore, verra également à favoriser les transferts de technologies avec les pays du Sud.
Doté d'un budget annuel de 25 M$, l'Irena entend se distinguer de l'Agence internationale de l'énergie (AIE) par le rôle que pourraient y jouer les pays du Sud. Comme le rapporte le journal Le Monde, aux yeux d'un ancien directeur de l'AIE et maintenant secrétaire d'Etat adjoint au ministère danois de l'énergie du nom de Hans Jorgen Koch, « une nouvelle instance est nécessaire pour lancer un mouvement ambitieux, l'AIE restant le porte-voix des pays industrialisés ».
Selon la publication Environnement Magazine Hebdo, la non-participation des États-Unis, de la Chine, du Japon et du Brésil évoquent la ligne de clivae du protocole de Kyoto.
Les dirigeants de l'Irena seront nommés en juin. Le choix du siège social de l'organisation sera également connu en juin.