Rangu Salgame, de Tata Communications, à C2MTL. Photo : Allen McEachern
Voilà, C2MTL, c’est fini pour cette année. Trois journées intenses, trois journées trépidantes, trois journées carrément démentes. Trois journées où - pour une fois - les idées étaient vraiment reines. Mieux, déesses, tant elles ont eu d’adorateurs enthousiastes, et même fous de passion. Des adorateurs, je le souligne, en tous genres, puisque j’y ai croisé aussi bien un pdg tatoué et percé de partout qu’un jeune créatif en costume trois pièces.
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Les idées, donc, fusaient de partout, sans une seconde de répit. Cela se produisait dans un nid géant, installé en hauteur, digne du nid des Marsupilami. Sur des vélos stationnaires placés par deux l’un en face de l’autre, histoire de pouvoir discuter à deux autrement, en sortant de sa zone de confort. Ou encore dans des ateliers bondés, où chacun se devait de rivaliser d’ingéniosité avec les autres
C’est d’ailleurs à l’occasion de l’un de ces ateliers que j’ai eu un flash. Les participants semblaient triper comme jamais, à échanger leurs idées avec de parfaits inconnus, à confronter leurs opinions à celles des autres, à s’ouvrir à d’autres réalités que la leur, me suis-je dit. Alors, pourquoi ne donnerais-je pas la chance aux lecteurs du blogue «En Tête» de triper tout autant, dès leur prochaine réunion où doivent être brassées des idées? Ben oui, pourquoi pas?