Selon les chiffres du cabinet-conseil américain Cleantech Group, en 2008, les capital-risqueurs du monde entier ont misé 364 M$ dans le domaine du bâtiment vert, en hausse de 36% par rapport à 2007.
Bien que ne représentant que 5% des investissements totaux des capital-risqueurs dans les énergies vertes et les technologies visant à maximiser l'efficacité énergétique, cet apport dans le bâtiment vert est d'autant plus significatif que la conjoncture politique s'y prête. Le nouveau président américain prévoit en effet injecter 6,2 G$ pour améliorer l'efficacité énergétique des logements à revenus modestes.
Les fonds des capital-risqueurs se destinent aux entreprises spécialisées dans l'éclairage des bâtiments (170 M$), suivies de celles oeuvrant en isolation (100 M$) et dans les systèmes de ventilation et d'air conditionné.