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LA PHOTO MARQUANTE
Après les doutes, la confiance revient en puissance. Wall Street a terminé en ordre dispersé une semaine de forte progression, les investisseurs effectuant leur retour sur les marchés après les avoir boudés la semaine précédente. Pour preuve, sur la semaine se terminant le 16 février, le Dow Jones a avancé de 4,25 %, sa plus forte progression hebdomadaire depuis novembre 2016, le Nasdaq a pris 5,31 %, sa plus importante avancée depuis 2011, et le S&P 500 a gagné 4,51 %, sa meilleure semaine depuis 2013. Les investisseurs ont pu compter sur une amélioration du moral des ménages américains. Deux autres indicateurs effacent le premier lundi de février, où Wall Street avait vécu sa pire séance depuis août 2011 : une augmentation plus élevée qu’anticipée des mises en chantier de logements et une forte hausse des prix à l’importation. – LES AFFAIRES
CYBERSÉCURITÉ
87 % des entreprises canadiennes font l’objet d’attaques
Les entreprises du Canada sont plus que jamais la cible d'attaques à leur cybersécurité. C'est ce qui ressort d'une étude de Scalar Decisions réalisée auprès de plus de 420 travailleurs canadiens du secteur de la sécurité et des TI. Les entreprises canadiennes font l'objet d'attaques environ 450 fois par année. Pour 87 % d'entre elles, les attaques ont réussi au moins une fois. Presque la moitié (46 %) des entreprises n'ont pas confiance en leur capacité à se défendre contre ce type d'attaque. Parmi les entreprises qui ont subi une atteinte à la cybersécurité, dans 47 % des cas, il y a eu vol de données délicates. Une entreprise moyenne dépense 3,7 millions de dollars en frais pour le rétablissement de ses activités après une atteinte à la sécurité et elle consacre environ 10 % de son budget de TI aux dépenses de sécurité informatique. Malgré cela, une atteinte sur cinq a été classée comme « ayant des répercussions importantes », alors que des renseignements confidentiels sur les clients ou les employés ont été exposés.– LES AFFAIRES
RÉMUNÉRATION
36 %
C’est le pourcentage de travailleurs canadiens qui ont tenté de négocier un salaire plus élevé à l’occasion de leur dernière offre d’emploi, selon la firme Robert Half. Les travailleurs de 18 à 34 ans (45 %) sont plus susceptibles de négocier leur salaire que ceux de 35 à 54 ans (33 %) et ceux de 55 ans et plus (17 %).