Royaume-Uni: Québec gère une relation commerciale en déclin

Publié le 01/02/2013 à 21:39, mis à jour le 09/02/2013 à 13:32

Royaume-Uni: Québec gère une relation commerciale en déclin

Publié le 01/02/2013 à 21:39, mis à jour le 09/02/2013 à 13:32

Par François Normand
Pour leur part, les exportations britanniques au Québec sont relativement stables à long terme. En 2002, elles s’élevaient à 4 639 M$, soit un peu plus qu’en 2011, à 4 588 M$. Les expéditions du Royaume-Uni ont bien atteint un sommet 6 946 M$, en 2008. Mais depuis, elles ont fondu comme neige au soleil.

Les investissements du Canada au Royaume-Uni (les données par province ne sont pas disponibles) se portent mieux. En 2011, ils devraient atteindre un sommet de 83,3 milliards de dollars, selon les estimations de Statistique Canada.

En revanche, les investissements du Royaume-Uni au Canada ont dramatiquement chuté depuis leur sommet de 2007, à 56,8 G$. En 2011, ils s’élevaient seulement à 38,9 G$, soit une dégringolade de 31%.

Plusieurs facteurs peuvent expliquer le déclin des échanges économiques entre le Québec et le Royaume-Uni. L’un d’entre eux est la croissance fulgurante des échanges économiques du Québec avec la Chine, ces dernières années.

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