Les États-Unis et la Grande-Bretagne veulent augmenter leur attractivité à l'entrepreneuriat mondial.
Aux États-Unis, le Start-Up Visa Act, déposé en février 2010 par les sénateurs John Kerry et Richard Lugar et présenté une deuxième fois au Sénat en janvier 2011, n'a toujours pas été adopté. Le visa serait délivré à un entrepreneur étranger ayant reçu au moins 250 000 $ grâce à un financement en capital de risque ou à des anges financiers et qui s'engagerait à créer cinq emplois dans les deux années qui suivent.
En Grande-Bretagne, une loi créant un nouveau visa pour " entrepreneurs prospectifs " a été a adoptée en mars dernier. L'une des catégories limite le financement d'un entrepreneur étranger à 50 000 livres sterling (80 000 $). Une autre s'adresse à des gens exceptionnellement talentueux qui n'ont pas nécessairement besoin de financement.