Malgré tous ces efforts, les temps sont difficiles pour les fabricants spécialisés dans les chaises. M. Bergeron admet que s'il ne pouvait compter sur les commandes de Canadel, son entreprise serait très fragilisée. Il collabore de près avec ce fabricant, qu'il visite toutes les deux semaines, pour anticiper ses besoins.
Mais il aimerait bien diversifier ses activités, de manière à rentabiliser sa capacité de production. Il explore actuellement la possibilité de racheter un fabricant de portes d'armoire, afin de rapatrier la production à Nicolet. «Le parc machine est imposant dans l'industrie du meuble au Québec et il est largement sous-utilisé, dit le président. Nous cherchons de nouveaux débouchés pour mettre nos capacités de production à l'oeuvre.»