La pression d’investisseurs pourrait faire en sorte que La Baie tente de créer de la valeur avec ses actifs immobiliers autrement qu’en y logeant ses magasins, croit Brian Morrison, de Valeurs mobilières TD. Toutefois, les changements risquent de demeurer modestes, selon lui.
L’analyste donne l’exemple du magasin phare de Lord & Taylor(détaillant américain acquis en 2012) sur la cinquième avenue à New York où des travaux pourraient entraîner une vente de l’édifice ou un changement de sa mission. De tels projets pourraient faire ressortir la valeur cachée des actifs immobiliers de la plus vieille compagnie d’Amérique du Nord.
Toutefois, M. Morrison pense que les vents contraires qui soufflent contre les détaillants traditionnels, particulièrement aux États-Unis, limiteront la possibilité de refléter la valeur des actifs immobiliers dans le prix de l’action. Il note que la direction accorde toute son attention à sa stratégie de redressement dans le commerce de détail.
Il réitère sa recommandation «conserver». La cible est bonifiée de 10$ à 12,50$.