Le ‘besoin de réciprocité’ ? Ça correspond au besoin viscéral d’échange que l’on a envers autrui : «Je te donne quelque chose qui compte à mes yeux, je m’attends (inconsciemment) à ce que tu me donnes en échange quelque chose qui compte tout autant à tes propres yeux», se dit-on alors ; ou encore «Je fais un geste envers toi, je m’attends (inconsciemment) à ce que tu le remarques et aies spontanément l’envie d’en faire tout autant envers moi-même». C’est donc l’exercice d’une véritable connexion entre deux êtres, dans ce cas-ci, entre l’employé et l’employeur. Bref, la nécessité de se découvrir dans les yeux de l’autre.
Fascinant, vous ne trouvez pas ? Il n’est par conséquent pas si sorcier que ça d’avoir au sein de son équipe des personnes hyper productives. Il suffit de suivre le conseil suivant :
> Qui entend avoir autour de lui des employés hyper productifs se doit de combler leur besoin viscéral de réciprocité. Ce qui peut se faire en leur donnant de bons salaires, en leur accordant une grande confiance dans l’exécution des tâches et enfin en veillant à ce que chacun ait effectivement soif de réciprocité (grâce à un test de personnalité au moment de l’embauche). Si les trois conditions sont réunies, alors toutes les chances sont là pour voir chacun dépasser toutes les attentes au travail.
En passant, l’écrivain espagnol Miguel de Cervantès a dit dans L’Ingénieux hidalgo Don Quichotte de la Manche : «Ces deux mots fatals : le mien et le tien».
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