La vraie raison est toujours profonde... Photo: DR
Un sourire, et la vie est tout de suite plus belle. L'ennui, c'est que les sourires se font rares au travail. Vous ne trouvez pas?
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La question saute aux yeux : comment se fait-il que les membres de votre équipe ne sourient pas plus que ça? Comment se fait-il, même, qu'ils ne sautent pas de joie, de temps à autre? Hein? D'après vous?
Je pense avoir trouvé une réponse fort intéressante à cette interrogation existentielle dans une étude intitulée Unhappy cities. Celle-ci est le fruit du travail de deux professeurs d'économie : Edward Glaeser, de Harvard (États-Unis), assisté de son étudiant Oren Ziv; et Joshua Gottlieb, de l'Université de Colombie-Britannique à Vancouver (Canada). Elle montre que l'explication est on ne peut plus simple…
Ainsi, les trois chercheurs se sont intéressé aux villes américaines les plus malheureuses. C'est-à-dire celles où les gens se disent peu, ou pas, heureux de vivre. Leur objectif était de découvrir pourquoi les gens ne désertaient pas carrément ces endroits-là, et mieux, pourquoi ces villes continuaient malgré tout d'attirer de nouveaux arrivants.