> Identifier un sujet de recherche et trouver un superviseur en lien avec celui-ci;
> Convenir d'un programme de recherche avec son superviseur;
> Respecter les dates limites et les exigences de ce programme;
> Communiquer régulièrement avec son superviseur, notamment à propos de l'avancement de ses recherches;
> Diffuser les résultats de sa recherche à la communauté.
On le voit bien, il suffit d'un rien pour que le programme de recherche se déroule mal : un conflit de personnalités entre l'étudiant et le superviseur, un bête malentendu dû à une mauvaise communication entre eux, etc. Les conséquences peuvent se révéler lourde, comme le ratage d'une thèse, suivi d'un mauvais démarrage dans sa carrière pour l'étudiant, voire d'un méchant contrecoup pour la réputation du superviseur.
Les quatre chercheurs ont fait de premiers constats intéressants :
> La grande majorité des nouveaux diplômés ressentaient de la gratitude pour leur superviseur, mais peu d'entre eux l'ont exprimée. Et ce, «même si chacun avait appris, durant sa tendre jeunesse, à dire "merci"», souligne l'étude.
> Les étudiants étaient avant tout reconnaissants pour : l'obtention de leur diplôme (38%); les ressources mises à leur disposition (20%); le rapport humain, qui dépassait le rapport traditionnel de professeur à étudiant (15%); et le soutien moral et émotionnel (10%).