Une question de lignes directrices et d'autonomie... Photo: DR
Il y a de cela un an, je mettais la dernière touche à mon livre Le Cheval et l'Âne au bureau (TC Média Livres, 2013), un livre qui, grâce à vous, est devenu un best-seller. Tout un challenge, car les idées qu'il véhiculait bousculaient nombre d'a priori sur les moyens d'être à la fois heureux et efficaces au travail.
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Et mon livre : Le Cheval et l'Âne au bureau
Ainsi, j'y démontrais que l'idéal était de fonctionner en cercle, non pas en triangle comme nous le faisons classiquement depuis des décennies. En cercle? En triangle? Une petite explication s'impose…
De nos jours, les triangles sont partout dans notre univers de travail. Sans qu'on le réalise. On les trouve dans la pyramide hiérarchique. On les trouve encore, par exemple, dans les réunions : le leader a tendance à se mettre en bout de table, et les autres à se ranger inconsciemment en forme de triangle par rapport à lui.
L'ennui du triangle, c'est qu'il est composé de pointes et de tensions variables entre celles-ci. Ce qui se traduit par des dysfonctionnements au sein de l'équipe (luttes de pouvoir, jalousies, etc.). Et ce qui nuit, par voie de conséquence, à l'efficacité de celle-ci.
Quelle est la forme géométrique contraire au triangle? Tout simplement le cercle. Là, les tensions sont uniformes, et même harmonieuses. L'efficacité y est maximale.
Appliqué au concept d'équipe, le cercle favorise :