L'indigence en prison a un aspect bénéfique insoupçonné... Photo: OITNB/Netflix
Faire plus avec moins au travail. Soyons honnêtes, nous en rêvons tous - de l'employé, qui aimerait bien être plus efficace pour passer moins de temps au bureau, au boss, qui adorerait recourir à moins de ressources pour atteindre un meilleur résultat. Pas vrai?
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Mais voilà, les plus sceptiques me diront qu'il y a un pas de géant entre le rêve et la réalité, à ce sujet. Et je leur aurais probablement donné raison dans la plupart des cas, si je n'avais mis au jour un moyen ultrasimple d'y parvenir. Si, si...
Ce moyen est tiré d'une étude qui semble pourtant loin du sujet. Intitulée Consumption restriction in a total control institution: Participatory action research in a maximum security prison, elle est signée par trois professeurs de marketing : Justine Rapp, de l'Université de San Diego (États-Unis), ainsi que Ronald Paul Hill et Michael Capella, tous deux de l'École de commerce Villanova à Exton (États-Unis). Et elle porte sur - tenez-vous bien! - le comportement de criminels enfermés dans une prison à sécurité maximale aux États-Unis en matière d'achats de biens et de services. Bref, sur l'attitude des prisonniers en tant que consommateurs.
L'intérêt d'une telle étude pour qui se pique de management? Vous allez voir, et être - comme moi, je pense - renversés...