> Les plus comparateurs. Ceux qui avaient en tête l'idée d'absolument trouver la meilleure offre ont été ceux qui ont eu le plus tendance à comparer ce qui, pourtant, ne mériterait pas d'effort intellectuel tant le choix était simple à faire. C'est-à-dire qu'ils comparaissaient, comparaissaient et comparaissaient tant et tant qu'ils en venaient à gaspiller temps et énergie.
> Les plus touchés. Ceux qui avaient en tête l'idée d'absolument trouver la meilleure offre ont été ceux pour qui la déception a été la plus persistante. C'est-à-dire que leurs regrets ont perduré plus longtemps que les autres, et se sont même répercuté sur les autres choix faits par la suite.
> Les plus insatisfaits. Ceux qui avaient en tête l'idée d'absolument trouver la meilleure offre ont été ceux qui ont été les plus tristes d'avoir opté pour un produit défectueux, et les plus prompts à le retourner au vendeur.
À noter que les deux chercheurs ont fait une découverte intéressante, au détour d'une des expériences :
> Une nuance de taille. Il y a un moyen d'annuler toute forme de déception chez ceux qui ont en tête l'idée d'absolument trouver la meilleure offre, et donc tout impact négatif. Lequel? Il suffit pour cela que ces personnes-là soient convaincues d'avoir fait le meilleur choix (même si ce n'est pas le cas!). L'important, c'est qu'elles le croient.
Que retenir de tout ça? Ça me semble évident :