Mais un courant de changement se dessine à l'horizon! Les autorités, dont le Fonds monétaire International, reconnaissent que d'importants changements et ajustements doivent être apportés afin d'améliorer la compétitivité de la Grèce ainsi que pour y attirer des investisseurs étrangers. Par conséquent, le gouvernement ne se contente point de tronquer dans les dépenses publiques. Il cherche des solutions afin de créer des emplois, et pose des gestes qui amèneront le pays vers une économie moins ''socialiste''.
Malheureusement, nous pensons que c'est de toute évidence ''trop peu, trop tard''. La dette nationale, tout comme un cancer que l'on pourrait qualifier de ''généralisé'', gruge trop de ressources au sein du gouvernement grec. Plusieurs experts croient qu'une restructuration de cette dette s'avère essentielle. Les créanciers devront donc accepter des compromis. Et comme les nouveaux emprunts pour ce pays se feront rares (après une restructuration, difficile de convaincre d'autres créanciers de prêter!), les nouvelles lois encourageant la compétitivité de la Grèce devront gonfler les revenus étatiques de façon suffisante pour enrayer les déficits qui s'ensuivront.
Article de référence (anglais) : http://finance.yahoo.com/news/Whats-Broken-in-Greece-Ask-an-nytimes-2375600796.html?x=0