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BLOGUE. Nous craignons un ralentissement important au Canada depuis longtemps, et nous nous interrogeons sur ses conséquences. Rappelons-nous du mouvement Occupy Wall Street qui éclata en septembre 2011: on décria l'important fossé entre les personnes qui se situent dans les 1% plus riches par rapport aux autres. Plusieurs statistiques viendraient appuyer cette réalité.
Malheureusement, nous estimons que cet écart s'agrandira dans la prochaine décennie. À moins d'un profond changement dans la mentalité des gens en général, il nous est difficile de ne pas entrevoir un appauvrissement de la classe moyenne. Un des grands facteurs qui contribueront à ce phénomène réside dans l'immobilier.
Pour un grand nombre de familles qui se considèrent comme étant dans cette classe, la résidence principale constitue l'actif le plus important. Si le prix des maisons chute, quel sera l'impact au niveau de la répartition de la richesse dans le pays? Cet article (cliquer ici pour le lire) suggère que la grande récession contribuerait à son aggravation. Toutefois, l'immobilier a tenu bon, et bien des ménages ont bénéficié d'un coup de main appréciable. Qu'en serait-il si la situation changeait?