La panacée qui sauve tout?
La nouvelle est certainement bonne. Elle vient théoriquement prévenir une autre détérioration potentielle du climat financier et économique. On se garderait cependant de dire qu'elle vient significativement améliorer la situation.
Les pays européens demeurent toujours aussi endettés et n'ont pas plus accès à des sources de financement convenables.
En d'autres mots, plusieurs sont toujours menacés de défaut et le problème reste entier. Le système bancaire est toujours à risque de lourdes pertes. C'est ce risque qu'il faut abaisser si l'on veut que les banques européennes continuent réellement à prêter, et éviter une récession.
Quelque chose nous dit que cette hausse de près de 500 points ne tiendra pas. Attention au piège.