Que voient les analystes en GDI ?
- Un parcours de croissance bien visible : la société a accru ses revenus à un rythme annuel de 27%, depuis 2004
- La société a pu réaliser cette croissance, ainsi que 21 acquisitions depuis 2008, sans sacrifier sa marge d’exploitation d'environ 6%
- Même si la société est déjà le chef de file canadien et cinquième en Amérique du Nord, l’industrie encore très fragmentée des services d’entretien d’immeubles offre un bon potentiel d’acquisitions, surtout aux États-Unis, où la société a commencé à percer le Nord-Est en 2012
- Le plan de match – doubler sinon tripler ses revenus à 1,5-2 milliards d’ici 5 à 7 ans - apparait réalisable avec une croissance interne de 5% des revenus par année et des acquisitions annuelles de 100M$ en moyenne
- Si la société atteint son objectif, son bénéfice d’exploitation pourrait tripler, ce qui ferait grimper son bénéfice de 15 à 18% par année, d’ici sept ans
- Des clients fidèles et des flux de trésorerie réguliers donnent beaucoup de stabilité à sa rentabilité et à sa croissance
- Son industrie exige peu de dépenses en capital, à peine 1% de ses revenus, ce qui lui donne les moyens de financer ses acquisitions
- Les analystes soulignent tous la compétence des dirigeants, et l’actionnariat de 16% du président Claude Bigras, comme deux facteurs importants qui s'ajoutent à ses mérites d’investissement
- En terme d’évaluation, GDI mérite une prime par rapport à ses semblables, disent les analystes, parce qu’elle croît plus vite qu’eux. Ses acquisitions lui apportent aussi des synergies qui peuvent atteindre jusqu'à 50% de la valeur de la transaction, en centralisant plusieurs fonctions, en partageant ses meilleures pratiques et en mettant en commun l'achat des fournitures.