Un autre souffle pour les actions mondiales et européennes?
Il n’est pas clair combien de temps l’Europe pourra y résister, mais avec les forces déflationnistes de sa population vieillissante et de ses structures inefficaces, les factions «dures» de l’Europe devront éventuellement se rendre à l’évidence, avance M. Lapointe.
Si le rachat plus «agressif» de titres par la Banque du Japon, annoncé le 31 octobre, a déjà ravivé les Bourses du monde, de nouvelles mesures de la part de l’Europe pourraient éventuellement insuffler à leur tour une nouvelle dose d’énergie aux actions mondiales et aux actions européennes, croit aussi M. Lapointe.
La dévaluation du yen a déjà fait rebondir les bénéfices japonais de l’indice MSCI monde de 70%, depuis 2012.
Pendant la même période, la hausse des bénéfices allemands n’a été que de 7%, indique M. Lapointe, suggérant ainsi que les entreprises allemandes voudront aussi leur part du gâteau.