Bell - Astral : maintenant, quoi?

Publié le 19/10/2012 à 09:30, mis à jour le 19/10/2012 à 09:30

Bell - Astral : maintenant, quoi?

Publié le 19/10/2012 à 09:30, mis à jour le 19/10/2012 à 09:30

Qui pour Astral?

Et qui achèterait Astral? En espérant que la réponse soit canadienne, les candidats potentiels sont rares et connus : Rogers d'un côté, le tandem Cogeco-Corus de l'autre. Les dirigeants d'Astral se sont un peu trop commis en faveur de la transaction avec Bell, notamment en affirmant que l'entreprise devait être vendue pour survivre, pour qu'elle reste indépendante ou qu'elle soit achetée par un fonds d'investissement, par exemple. 

Théoriquement, on pourrait aussi compter Telus, mais celle-ci a maintes fois affirmé au cours des dernières années qu'elle entendait rester concentrée dans les télécommunications et qu'elle n'était pas intéressée par l'intégration verticale, aussi à contre-courant que puisse paraître l'idée. Disons que ce serait là tout un revirement de situation.

Et Québecor?

Quant au rival Québecor et à sa très importante présence au Québec, il est trop tard pour que le CRTC n'intervienne. Mais clairement, quand ils se seront relevés de l'immense fête qu'ils ont dû organiser jeudi soir, ses dirigeants devront se poser des questions sur leur propre ligne de conduite à l'avenir.

Le message du « nouveau » CRTC est clair, il y a une limite à la convergence. Tant que Québecor n'a pas à se présenter devant lui, le CRTC ne peut rien faire. Il vaut peut-être mieux ne pas ouvrir la porte...

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