Diane Bérard rencontre le président de Microsoft Canada

Publié le 10/03/2011 à 10:54, mis à jour le 10/03/2011 à 15:23

Diane Bérard rencontre le président de Microsoft Canada

Publié le 10/03/2011 à 10:54, mis à jour le 10/03/2011 à 15:23

Par Diane Bérard

[Photo : Microsoft]

Les meilleures années de Microsoft sont-elles derrière elle ? L'histoire d'amour entre Apple et les consommateurs le laisse entendre. Eric Gales, président de Microsoft Canada depuis juin 2009, n'est pas d'accord. Rencontré aux bureaux de Microsoft Canada, au centre-ville de Montréal, Eric Gales y voit plutôt une obsession des médias pour la nouveauté et l'effet-mode.

Visionnez ICI l'entrevue de Diane Bérard avec Bill Gales

En fait, il y encore beaucoup d'argent à faire avec l'informatique d'entreprise, affirme-t-il et Microsoft compte se différencier de ses concurrents en continuant de servir ce marché. Nous serons l'entreprise qui vous accompagne au travail comme dans vos loisirs, dit-il. Au-delà de l'effet mode, Microsoft lutte contre un autre ennemi: le désintérêt des jeunes pour la profession d'informaticien. Une situation qui n'a pas bougé depuis cinq ans. Tout comme le côté trop conservateur des Canadiens en affaires. Eric Gales a travaillé dans plusieurs pays, à son avis ce qui nuit le plus à l'économie canadienne c'est l'aversion de ses habitants au risque. Les idées d'innovation ne manquent pas mais on ne passe pas à la commercialisation.

Ne manquez pas l'entrevue de Diane Bérard avec Eric Gales dans le Journal Les Affaires du 12 mars 2011.

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.