Ottawa instaure de nouvelles règles pour encadrer sa présence sur le Web

Publié le 13/03/2013 à 12:20, mis à jour le 16/10/2013 à 15:22

Ottawa instaure de nouvelles règles pour encadrer sa présence sur le Web

Publié le 13/03/2013 à 12:20, mis à jour le 16/10/2013 à 15:22

Par La Presse Canadienne

Ce nouveau cadre a été mis en oeuvre à la fin du mois de janvier. Les ministères ont toutefois un sursis, jusqu'en 2014, pour s'assurer que les tiers parties à qui des contrats ont été pour l'analyse du trafic des sites gouvernementaux, se plieront aux nouvelles directives.

Les règlements ont été mis en place à la suite d'une lettre de la Commissaire à la protection de la vie privée, qui avait émis des inquiétudes concernant cette pratique de collecte de données.

La porte-parole de la commissaire, Jennifer Stoddart, a soutenu dans un courriel envoyé mardi que l'organisme était satisfait des modifications apportées par le gouvernement fédéral.

« Avec le virage Web que s'apprête à adopter le gouvernement pour ses services aux citoyens, il sera encore plus important que ceux-ci soient bien protégés en naviguant sur les sites du gouvernement canadien », a écrit Daphne Guerrero.

Ces directives font par ailleurs partie d'un plan plus large du gouvernement quant à sa présence en ligne, et dont la mise en place est à venir.

Le projet comprendra notamment une série de normes qu'Ottawa devra respecter en matière d'utilisation des réseaux sociaux. Ils n'étaient, jusqu'à maintenant, encadrés par aucune restriction sur la vie privée.

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.