L’Ontarien Glenn Winder, requérant principal dans ce recours, reproche à SNC-Lavalin d'avoir menti aux investisseurs en affirmant à répétition qu'elle se conformait au droit international et aux règles d'éthique dans ses négociations de contrats.
D’un montant de 250 millions, le recours de Québec vise à représenter les investisseurs individuels de l’entreprise.
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