À ses yeux, la proposition Maple est plus avantageuse pour les actionnaires de TMX, et ce, tant à court terme qu'à long terme.
Le dirigeant a estimé que l'intégration verticale des activités de négociation et de compensation, comme le propose Maple, était plus susceptible de "créer de la valeur" qu'un regroupement transatlantique.
À preuve, a-t-il dit, les fusions NYSE-Euronext et Nasdaq OMX n'ont pas tenu leurs promesses, commandant aujourd'hui des valorisations inférieures à celles des Bourses intégrées de Hong Kong et d'Australie.
"Il est clair qu'il y a des limites dans ces grandes transactions transatlantiques, a-t-il insisté. (...) Si NYSE-Euronext avait été le grand succès que tout le monde prédisait, eh bien ce sont eux qui achèteraient Deutsche Bvrse aujourd'hui et non le contraire."
L'action du Groupe TMX a clôturé à 43,79 $ lundi, en hausse de 0,2 pour cent, à la Bourse de Toronto.