Il a noté que le commissaire aux plaintes concernant les services de télécommunications en a reçu près de 8000 pour les services sans-fil. Cela représente plus de 60% des plaintes reçues.
Le CRTC ne veut pas être un organisme de réglementation puissant, a dit M. Blais, ajoutant qu'il devrait être l'exception plutôt que la règle.
Bell n'est pas en accord avec la décision du Conseil de rejeter la transaction avec Astral, et il a demandé au gouvernement fédéral d'intervenir, mais Ottawa ne semble pas en avoir l'intention.
Le CTRC a déclaré que si la transaction était acceptée, BCE aurait contrôlé près de 45% de la programmation télévisuelle anglophone et près de 35% du contenu francophone.
M. Blais occupe ce poste depuis le mois de juin et son mandat se termine en 2017.
Avec la Presse Canadienne