Le promoteur veut ouvrir sa nouvelle halte de la sortie 200 en 2015, soit seulement quatre ans après s’être départi du fameux Madrid rouge et blanc, sortie 202, pour 1,6 M $. L’acte de vente signé avec Immostar mentionne pourtant une entente de non concurrence de cinq ans… «Ça ne cause pas un gros problème pour moi, dit Richard Arel. J’ai étudié ça avec mes avocats : ils m’ont dit qu’il n’y avait pas trop de problèmes. Mais au pire, on attendra au printemps 2016.»
Immostar a détruit l’ancien Madrid pour y ériger un autre immeuble accueillant une station service et des chaînes de restauration rapide.
Richard Arel devra en outre obtenir le dézonage d’environ la moitié des terrains, classée agricole, bien que boisée. «En réalité, c’est du boulot gris», dit le promoteur, convaincu que personne ne s’y opposera. «Les gens seront très heureux de voir les dinosaures, les big foots, des choses uniques au monde.»