Plusieurs pays cherchent à dévaluer leur monnaie afin de relancer leurs exportations et l'emploi en ces temps difficiles sur le plan économique.
Le ministre canadien des Finances, Jim Flaherty, a soutenu vendredi que l'enjeu des devises devait être abordé et que personne au G20 ne souhaite mettre fin à la rencontre sans plan d'action. M. Flaherty a fait valoir que le conflit qui se profile serait néfaste pour tous les pays, émergents et développés.
Le groupe des sept, qui inclut les États-Unis, le Canada, le Japon, le Royaume-Uni, la France, l'Allemagne et l'Italie, s'est réuni pour des discussions informelles. Les pourparlers sur deux jours aideront à établir l'ordre du jour pour le sommet des leaders du G20 qui se tiendra les 11 et 12 novembre.