Conversion complexe
Quel que soit le projet qui sera retenu pour donner un second souffle à Très-Saint-Nom-de-Jésus, sa transformation s’annonce complexe.
Ses dimensions immenses font en sorte que les coûts de restauration seront importants, a fait savoir le chargé de projet du Conseil du patrimoine religieux du Québec (CPRQ), Denis Boucher.
«Très-Saint-Nom-de-Jésus fait partie des églises montréalaises qui présentaient, au niveau structural, des problématiques particulières qui ajoutent un autre défi à la transformation», a mentionné M. Boucher.
L’abandon de l’église au cours des dernières années a accéléré sa détérioration, croit le CPRQ. Le chauffage maintenu au minium au cours des dernières années a entraîné le bris d’une conduite de gicleur. Des morceaux de la toiture de cuivre ont aussi été volés.
Quel que soit le projet qui sera retenu pour donner un second souffle à Très-Saint-Nom-de-Jésus, sa transformation s’annonce complexe.
Ses dimensions immenses font en sorte que les coûts de restauration seront importants, a fait savoir le chargé de projet du Conseil du patrimoine religieux du Québec (CPRQ), Denis Boucher.
«Très-Saint-Nom-de-Jésus fait partie des églises montréalaises qui présentaient, au niveau structural, des problématiques particulières qui ajoutent un autre défi à la transformation», a mentionné M. Boucher.
L’abandon de l’église au cours des dernières années a accéléré sa détérioration, croit le CPRQ. Le chauffage maintenu au minium au cours des dernières années a entraîné le bris d’une conduite de gicleur. Des morceaux de la toiture de cuivre ont aussi été volés.