Les coûts sont évalués à 23 M$. Le Ministère des Ressources naturelles et de la Faune était devenu responsable du site en 2004.
"Le gouvernement du Québec restaure un important site orphelin en économisant plusieurs millions de dollars. Et nous y trouvons une façon de disposer de nos propres résidus de traitement d'une façon efficace et respectueuse de l'environnement", a déclaré Sean Roosen, président et chef de la direction d'Osisko.
Par ailleurs, Osisko indique qu'un peu plus du tiers des 540 M$ d'investissements prévus pour la mise en oeuvre du projet Canadian Malartic seront effectués en Abitibi-Témiscamingue. Osisko dit également s'assurer de maximiser l'embauche de main-d'oeuvre de Malartic et d'Abitibi-Témiscamingue. La minière, qui a son siège social à Montréal, a par ailleurs mis sur pied le Fonds Essor Malartic Osisko (FEMO), visant à s'assurer que Malartic tire des bénéfices à long terme de ses activités dans la région.
Selon Osisko, le projet Canadian Malartic créera directement près de 400 emplois permanents, dont 350 en Abitibi-Témiscamingue, et supportera indirectement 500 autres emplois au Québec.