« Plusieurs affirment que l'innovation est importante pour l'avenir du Québec, mais en réalité il ne se passe pas grand-chose, on n'y investit pas beaucoup », précise M. Collas.
À son avis, cette volonté de la relève entrepreneuriale est reliée notamment à l'insatisfaction vécue au sein de leur employeur actuel. « Ils se disent qu'ils n'ont qu'à se prendre en main », souligne M. Collas, d'autant que les jeunes recherchent des projets stimulants qu'ils ne retrouvent probablement pas dans leur milieu actuel.
Près de 80 % des répondants à l'étude sont des salariés à temps plein ou à temps partiel.